PICASSO DU BONJAC ♥

SON CARACTERE

Picasso est un cheval très câlin et gentil au box. Il adore surtout les promenades. A la monte il tourne déjà en 120-130 mais il n'est pas au bout de ses capacités, il lui faut quelques qui sache les exploiter. Se cheval à un très gros potentiel.

J'avais décider de m'entrainer avec le cheval que j'avais choisit pour le concours. Je me dirigea vers les boxs des chevaux de CSO. Je chercha le nom de ce fameux Picasso. Après cinq minutes de recherche je le trouvait enfin. C'était un beau gris, qui devait faire dans les environ du mètre 75. Je le caressa et alla chercher un licol, une corde et mes affaires de pansage. Je posa le tout devant le box et prit le licol et la corde. J'entra dans le box.

{Bonjour toi !}

L'hongre s'approcha directement de moi, apparemment content d'avoir de la visite. Je le caressa abondamment et lui glissa le licol sur la tête. Ensuite j'attacha la corde au licol et le sortit du box. Il me suiva sans problème, je l'attacha devant le box et le caressa. Ensuite j'alla chercher l'étrille. Je lui passa sur tous le corps en faisant des cercles. La poussière s'éleva dans les airs avant de retomber délicatement sur le sol. Je le brossa ainsi pendant plusieurs minutes. Ensuite j'alla ranger cette brosse et prit le bouchon. Je le passa à contre poils partout sur le corps du beau gris. Et oui encore un gris, quel hasard !
Cela me prit de longue minutes, c'est incroyable comme un cheval peut facilement se salir Quand j'eut terminer j'étais pleine de poussière, mais cela ne me dérangeait pas. J'alla ranger le bouchon et prit la brosse douce. Je la passa sur Picasso, et quand j'eu fini l'hongre brillait de mille feux ! J'était fière ! Mais ce n'était pas encore fini. Je prit alors le cure pied et me mit à faire les sabots du beau. Il se laissa faire sans ronchonner, car il s'amusait à jouer avec mon t-shirt pendant que je faisait ses antérieurs. Je rigola, avant de lui faire comprendre qu'il ne pouvait pas. Car si une fois il loupait le t-shirt cela pourrait faire très mal ! Il comprit vite et se mit à mastiquer la paille qui trainait au sol. Il en avait marre d'être là. Je finissa vite, et prit le peigne. Je fit sa à la va-vite, je n'aimais pas quand le cheval s'ennuyait. Quand j'eut finit j'alla chercher la matériel. Je prit mon bridon, ma selle, mon tapis de selle, mon amortisseur, mes guetres, mes protèges boulets.. Et je pense que c'est tout ? J'arriva près de Picasso, chargée comme un baudet. Je ne su que faire d'autre que tout lâcher comme sa. Quand tout fut étaler à l'arrache, je tria un peu. Je prit d'abord les guêtres, que j'installa sur les antérieurs de l'hongre. Ensuite ce fut autour des protèges boulets, que je mit au postérieur de Picasso. Je prit ensuite le tapis de selle et l'amortisseur que je posa sur son dos. Il se laissait faire sans aucun problème. Ensuite je lui mit la selle sur le dos. Je sangla délicatement. Quand ce fut fait, je lui mit le bridon. Je me prépara moi même rapidement. Et je partit avec Picasso en direction de la carrière

Je revenais de la carrière avec Picasso, je l'attacha et en cinq minutes je lui enleva tous ce qu'il avait sur le dos sauf les guêtres et les protèges boulets. Je me dirigea vers les douches.

Je me mis à réfléchir, couverture ou non ? Il faisait chaud, donc je décida de ne pas lui mettre. Je ne tenais pas à le faire mourir de chaud pendant la nuit ! Je le rentra donc au box, je finissa de le secher à l'aide de la paille. Quand il fut presque sec, j'arreta. Je le caressa.

{Tu as été super mon beau ! Je reviendrais vite tu verra !}

Je sortit et m'en alla.

J’arrivais en courant vers le box de Picasso, sa y est c’était le jour-J ! J’allais enfin passer mon galop 1 ! J’approcha de l’hongre, et lui adressa une caresse.

Bonjour mon grand ! C’est l’heure on va être évaluer sur notre savoir faire ! »

Je souria, et me dirigea vers la sellerie. J’y pris mon licol, ma corde et surtout mon bac de pansage. Picasso devait être le plus beau pour cet événement ! Oui ! Je m’approcha du box, et posa le sac de pansage au sol. Je me dirigea vers Picasso, et entra dans le box. Je m’approcha de Picasso, et le caressa. Ensuite je lui mit doucement le licol sur la tête. Et comme à son habitude il se laissa faire. Quand ce fut fais, je le sortit du box. Et l’attacha devant ce dernier. Je le caressa doucement, et m’éloigna le temps de prendre la brosse. Je le pansa longuement avec l’étrille. Il était assez propre, mais ce n’était pas suffisant. Il devait être NI-CKEL ! Alors je continua de passer l’étrille. Après vingt minutes, je pris une brosse dure. Et la passa à contre sens sur le corps du grisou. Je la passa absolument partout ! Je voulais que tous soit parfait aujourd’hui ! Je ne pouvais pas rater cet examen, en tous j’espèrais réussir. Je continua de le brosser pendant une dizaine de minutes. Ensuite je pris la brosse douce, je la passa partout sur lui. Et quand j’eu fini son poils reluisait de partout. Je pris alors le cure pied. Et m’approcha de lui, je lui cura les sabots. Il était nickel ! Alors je pris enfin le peigne et .. les élastiques ! Je ne pouvais pas me présenter à mon examen sans natter les crins de Picasso. Je commenca donc à dénouer ses crins. Quand il fut bien dénouer, je pris une éponge mouillée. Et je la passa sur les crins de Picasso. Les crins étaient légerement mouillés, mais c’était parfais pour que les pions tiennent. Je commenca donc par faire des minis tresses, elle était au nombre de 15. Puis quand ces dernières fut faites, je me lanca dans la confection des pions. Je replia les tresses sur elle même pour former des petites boules, que je ferma avec des élastiques blancs. Ensuite je m’attaqua au toupet, ce qui était un peu plus compliquer. Je commenca donc par une tresse africaine puis je finissa par une tresse normale. Et le bout normal je le replia en deux pour faire un pion. Ensuite je tressa la queue, tressage très complexe. Je devait prendre un petit bout de chaque coté pour faire la tresse. Et je du recommencé plusieurs fois. Mais après le résultat me plu. Et quand elle fut terminer je passa un coup d’éponge pour que cela tienne. Après j’alla chercher toutes les affaires. Je pris ma selle, mon tapis de selle, mes guêtres, mon bridon et mon amortisseur. J’amena le tous près de Picasso. J’avais graisser ma selle et mon bridon hier, et laver mon tapis de selle et mes guêtres. Je décida de mettre les guêtres pour commencer. Je m’approcha des jambes de l’hongre, et posa doucement les guêtres et protège-boulets. Ensuite je pris le tapis de selle, et le posa délicatement sur le dos de Picasso. Je le frotta pour être sure qu’il était bien à plat. Ensuite je posa l’amortisseur sur le dos du beau gris. Ensuite, j’alla chercher la selle. Et la posa doucement sur lui. Je sangla doucement Picasso. Quand ce fut fait, je pris chacun son tour ses antérieurs et les étira pour éviter qu’un plis se forme sous la sangle. Ensuite je m’approcha, de sa tête et la mis sur sa tête. Ensuite je me prépara, et détacha le bel hongre. Je me dirigea vers le manège pour l'échauffement.

Je rentrais de mon épreuve avec Picasso. J’étais moyennement fière de moi, j’étais sure que j’aurais pu faire mieux ! Je l’attacha devant le box. Je passa plusieurs minutes, à détacher les pions de Picasso. Ensuite je enleva l’harnachement. Quand ce fut fait, je passa la brosse dure sur lui. J’enlevais toute la transpiration qui parcourait son corps. Quand ce fut fini, j’allas le rentrer au box.

« Tu as bien travailler mon beau ! Voilà ta récompense »
Quel était cette récompense ? Quelques carottes ! Je lui mis dans sa mangeoire. Il fonca dessur et les mangea goulusement. Je le caressa et sortit du box. Ensuite je me dirigea vers la sellerie pour ranger toute les affaires.